Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

S'il est un titre standard repris et interprété par des dizaines de chanteurs, chanteuses, groupes, célèbres ou pas, c'est bien celui-ci !

Je l'ai découvert ado avec "The Animals", et un peu plus tard, dans sa version française "Le Pénitencier" par notre Johnny national...

Origine de cette chanson maintes fois reprise, selon Wikipedia :

Comme pour beaucoup de ballades folk, l'identité de l'auteur de The House of the Rising Sun, appelée aussi Rising Sun Blues, est incertaine. Le folkloriste Alan Lomax, auteur en 1941 du songbook Our Singing Country, écrit que la mélodie est empruntée à une ballade anglaise traditionnelle et attribue les paroles à un couple du Kentucky, Georgia Turner et Bert Martin. D'autres auteurs ont proposé différentes filiations, mais celle de Lomax reste généralement considérée comme la plus plausible.

Au début du XXe siècle, l'expression Rising Sun peut avoir été employée comme un euphémisme pour un bordel ou maison de prostitution. D'après le Smithsonian Folkways Recordings, ce terme était utilisé en Angleterre pour nommer une maison close1. On ne sait pas si cette « maison » décrite dans les paroles est fictive ou non. Selon d'autres sources, The Rising Sun était, au début du XXe siècle, une prison pour femmes de La Nouvelle-Orléans. Cette hypothèse est confortée par le fait que l'avant-dernier couplet parle de ball and chain. Cependant, il apparaît clairement que cet avant-dernier couplet indique que la personne qui parle part en train pour aller porter ces "ball and chain", donc pour aller au pénitencier, ce qui est une conséquence du fait qu'elle a gâché sa vie en allant au Rising Sun qui est elle une maison de perdition... Il faut enfin noter le jeu de mot à la fin du dernier couplet : "beneath the rising sun" ne fait plus cette fois référence à l'établissement qui s'appelle le Rising Sun mais vraiment au soleil levant.

Des interprétations très personnelles, celles de Joan Baez, de Sinead O'Connor, Bob Dylan, ou encore de Samara York, que je ne connaissais pas...

Une interprétation instrumentale, celle des Eagles...

Une interprétation façon "Pink Floyd" !... par eux-mêmes

Une vraie performance, unique, celle de Jimi Hendrix...

Une interprétation exotique...

Une interprétation endiablée, celle de Santa Esmeralda...

Sans oublier celles de Johnny...